Hello à tous,
Bien enjoy de ce combi tour
Grand merci à tous pour cette édition qui a su comme à chaque fois apporter son lot de bonheur, de rencontres, de dépaysement et à lire certains commentaires, de déception…
C’est comme ça, déjà 9 ACT, « seulement » 5 pour moi, et les habitudes se créent: des affinités se renforcent entre certains, une routine peut s’installer, les vieux de la vieille se mettent à méditer, et des comparaisons se font avec les éditions précédentes… Merde alors, on deviendrait des blazés !!! Quelle tristesse…
Comme le dit Roger, y a forcément des couacs, c’est la vie. Mais qu’est ce qui reste au final ? Un état végétatif dans les jours qui suivent pour retoucher terre. Des images de paysages grandioses . Des rires des enfants. Un lendemain de cuite. Ma fille qui le lendemain veut bricoler son doudou en forme de combi pour aider papa. Une solidarité entre des gens dont la passion commune les rapproche.
Y a qu’à voir la chaine de solidarité pour que Davy embarque avec nous avec un moteur cramé à 2 jours de l’ACT ou Noé qui continue la participation malgré tout… Et comme le dit Dom, un troupeau de débiles à la soirée du nouvel an.
Pour ma part, la pression était énorme ! Cela fait un an que le rêve du combi s’est emparé de moi… A la sortie du 8eme ACT, comme toujours une déprime post combitour ne m’a pas lâché durant des jours et peut être même des semaines. La fatigue me direz vous ? oui c’est certain que les 3 jours ne sont pas de tout repos. Mais la vrai raison est ailleurs. Elle se cache dans l’évasion que procure le combitour et le retour fracassant à la réalité qui s’en suit comme Pierre l’a écrit quelques posts précédemment.
La plupart d’entre vous connaisse dans les grandes lignes l’histoire des bus VW dans notre famille, avec le vert des parents devenu celui de Pierre (Pierrox), et le popo doré de Jean-Paul qui sévissent sur les routes de l’ACT depuis la 5eme édition. Je profite de l’occasion pour saluer mon papa qui traverse des moments difficiles l’ayant empêché de participer depuis 2 éditions
L’intensité des moments vécus à chaque ACT ne pouvait pas rester sans suite, et à la fin du 8eme le remède à la déprime allait si tôt se transformer en croisade à la recherche du Saint Graal. C’était en juin, juillet de l’année dernière… La suite vous la connaissez, et l’avez découvert cette année avec le combiblanc (désolé on manque d’imagination dans la famille pour les noms )
Cette année était pour nous particulière, avec beaucoup d’espérance et d’envie d’être là. Cette 9eme édition a tenu ses promesses. D’abord par notre participation avec toute la famille et le combiblanc, ce qui est une vision très autocentrée de la chose. Mais surtout par cette atmosphère inoubliable qui plane sur chaque ACT. Comme je le faisais remarquer à Manu (Dom Ruinart), l’ACT démarre vraiment à la pause déjeuner du samedi quand les tablées se dressent en ligne, et trouve son apogée lors de la soirée (souvent arrosée) du samedi qui facilite le dialogue. Et une fois de plus les rencontres ont opéré. J’ai beaucoup apprécié la connaissance de Jacques avec qui je n’avais jamais trop eu l’occasion de bavarder et dont le nouveau popo me plait beaucoup (comme quoi on peut aimer les T3 ), ou encore la soirée en compagnie de Lili, ma nounou préférée !
Cette année fut à cet titre un peu perturbée. Le rendez-vous « raté » du départ par ces pu…ains de retardataires dont je fais partie, qui a conduit à manquer de temps à la pause déjeuner, conjugué à un vent glacial essuyé samedi n’a pas permis la convivialité voulue. Et les températures de la première soirée n’ont pas permis non plus d’en profiter comme on aurait voulu. Repoussant au dimanche soir, la traditionnelle soirée. C’est comme ça. La prochaine fois on a qu’à aller dans le mercantour
A ce titre je peux comprendre un sentiment de brimade. Mais c’est tout. Bien sur chacun a le droit de penser ce qu’il veut et a la liberté de ne pas revenir. Cela fera entrer du sang neuf l’année prochaine !
Quand à moi j’ai hâte d’être au suivant. De vous revoir et de fêter dignement le dixième.
Un sincère et grand merci à Alain et Louise pour permettre tout cela, avec toute l’énergie que cela demande. Comme toujours au top.
Pour revivre quelques moments:
goo.gl/photos/RXzjNiVLAMCABgVs5
Bises à tous